Sources pour l’étude de la protohistoire d’Hispanie. Pour une nouvelle lecture
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http://hdl.handle.net/10347/14817
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Title: | Sources pour l’étude de la protohistoire d’Hispanie. Pour une nouvelle lecture |
Author: | García Quintela, Marco Virgilio |
Affiliation: | Universidade de Santiago de Compostela. Departamento de Historia I |
Subject: | Protohistoria | Hispania | Etnografía antigua | Historiografía | |
Date of Issue: | 1991 |
Publisher: | Presses Universitaires de Franche-Comté |
Citation: | García Quintela Marco V. Sources pour l'étude de la protohistoire d'Hispanie. Pour une nouvelle lecture. In: Dialogues d'histoire ancienne, vol. 17, n°1, 1991. pp. 61-99. |
Abstract: | [FR]Cet article examine systématiquement les sources auxquelles la "communis opinio" fait référence pour soutenir ses thèses sur l'Hispanie au moment de la conquête romaine, thèses qui sont en vigueur depuis un siècle. Leur examen conduit à envisager une nouvelle approche et à proposer un nouveau modèle pour comprendre ces sociétés et cette période. En effet, contrairement aux idées admises, on montre : que les témoignages évoqués pour montrer l'existence d'inégalités sociales ne sont pas aussi convaincants qu'on le prétend ; que les généraux romains ne sont ni "bons" ni "méchants", mais tout simplement des généraux qui ont plus ou moins de succès ; que la fondation par Rome de cités habitées par des indigènes est une mesure surtout politique, et non pas seulement sociale comme on l'affirme habituellement [ES]El presente articulo examina sistemáticamente las fuentes aducidas por la "communis opinio" en favor de sus tesis sobre Hispania en el momento de su conquista, vigentes desde hace un siglo. Del examen se concluye la necesidad de cambiar la aproximación a esas fuentes y de proponer un nuevo modelo para entender esas sociedades y ese período. En efecto, en contra de las ideas admitidas se muestra : que los indígenas tenían unos recursos abundantes y variados ; que los testimonios aducidos en favor de desigualdades sociales no son tan claros como se prétende ; que los générales romanos no son ni "buenos" ni "malos" son, simplemente, générales que tienen más o menos éxito ; que la fundación por Roma de ciudades pobladas por indígenas tiene un componente estrictamente político que se impone sobre el social, único habitualmente considerado |
Publisher version: | http://dx.doi.org/10.3406/dha.1991.1907 |
URI: | http://hdl.handle.net/10347/14817 |
DOI: | 10.3406/dha.1991.1907 |
ISSN: | 1955-270X |
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